19 février 2008
"les choses qu'on possède finissent par nous posséder"
pourquoi ne pas se laisser aller,marcher dans un rue qu'on connai ossi bien et ossi mal que notre inssinifiante vie. arretons nous, oublions tout, la musique, les gouts, les odeures, notre passé, sans se soucier d'un avenir déja tracer par un systeme...