"les choses qu'on possède finissent par nous posséder"
pourquoi ne pas se laisser aller,marcher dans un rue qu'on connai ossi bien et ossi mal que notre inssinifiante vie. arretons nous, oublions tout, la musique, les gouts, les odeures, notre passé, sans se soucier d'un avenir déja tracer par un systeme illusoire. rien qu'une seconde renaitre, trouver la force de laisser tomber la cigarette qui tient entre la légère entreinte de nos doigts, la laisser au sol et trouver la lucidité de cette seconde pour qu'elle nous transmette l'inutilité de celles ci, de cette clope et de cette vie. et quant, a cet instant qui n'aura ni gout ni couleures, quand notre ame ne sera plus soumise qu'a elle seule, alors nous serons libre. ce moment éphémère sera le seul véritablement vécu.